Petit bilan rapide

Ça fait maintenant deux semaines que je vis a İstanbul et je vais résumer mes découvertes et mes impressions de nouveau stambouliote .

Tout d'abord je n'ai pas été autant dépaysé que je le pensais . İl y a beaucoup de chose qui change: par exemple ,la difficulté de communiquer ( problème de la langue) avec les citadins ou alors les conceptions différentes de la vie urbaine turque ( le fait d'utiliser le taxi: très fréquent car peu chère , j'assiste également a des concerts de klaxons ).De plus, La nourriture est très différente tout de même: pommes de terres fourré, une infinités de kebab , les simdi (couronnes de pain avec des blés d'avoines)..., mais je peut dire que fondamentalement les relations entre les personnes ne changent pas malgré une culture différente.

Ensuite , coté esthétique la ville varie du tout au tout . D'un coté elle est très industrialisée et moderne . On peut voir par exemple des grandes surfaces immenses (je suis entré dans un Carrefour avec quatre étages de galeries commerciales ) ou bien alors un réseau de transports tentaculaire , pas forcement performant mais très utilisé (il existe beaucoup de ligne de bus mais peu de métro , de tramway ). Le ferry est également un moyen de transport a part entière . Aussi peu chère que les autres , il permet de traverser le Bosphore en moins de 20 minutes.
Et d'un autre coté, beaucoups de maisons on été construites a la va-vite et faute d'entretiens, tombent en ruine(les maisons juste en bas de chez moi n'ont plus de toits et je suis pourtant dans un quartier chic).

J'ai l'impression que cette ville a pour vocation de s'étendre le plus vite possible sans s'occuper des structures déjà existante. De plus il existe de nombreux sites touristes magnifiques ( j'ai visité le palais Tocapi , je vous en parlerai plus tard) ainsi que de nombreux parcs.

Pour l'instant je suis toujours resté a İstanbul. La semaine prochaine Je suis en vacances a la fin de la semaine ( hé oui déjà ). Je vais essayer de trouver des personnes pour visiter autre chose et sortir de cette ville.
Peut être bien que je vis le premier des 3 stades de l'étudiant Erasmus (l'émerveillement ).